Parlons du poméranien
Descendant des chiens de traîneau, et même s’ils sont beaucoup plus petits aujourd’hui, les poméraniens sont intelligents, enjoués et plein d’énergie. Cette race se distingue par son visage rusé, ses traits « souriants » et son pelage somptueux, sans parler de cette « collerette » distinctive en forme de crinière,
et sa queue touffue qui complète le tableau. Toujours vigilants à l’approche d’étrangers, ce sont également d’excellents chiens de garde. Malgré leur petite taille, ces chiens n’ont rien à envier aux grands.
Nom officiel : Poméranien
Autres noms : Spitz nain, pom
Origines : Allemagne
Tendance à baver
1 out of 5Toilettage
4 out of 5Perte de poils
4 out of 5Tendance à aboyer
5 out of 5Niveau d’énergie*
1 out of 5Tolérance aux températures élevées
2 out of 5Tolérance aux températures basses
3 out of 5Adaptation à la vie en appartement
4 out of 5Capacité à rester seul*
2 out of 5Animal de compagnie*
3 out of 5
Mâle | Femelle |
---|---|
Taille | Taille |
18 - 30.5 cm | 18 - 30.5 cm |
Poids | Poids |
0 - 3.5 kg | 0 - 3.5 kg |
Chiot | Âge adulte |
---|---|
De 2 à 10 mois | De 10 mois à 8 ans |
Âge mature | Âge avancé |
De 8 à 12 ans | De 12 à 22 ans |
Jeune chiot | |
De la naissance à 2 mois |
Tendance à baver
1 out of 5Toilettage
4 out of 5Perte de poils
4 out of 5Tendance à aboyer
5 out of 5Niveau d’énergie*
1 out of 5Tolérance aux températures élevées
2 out of 5Tolérance aux températures basses
3 out of 5Adaptation à la vie en appartement
4 out of 5Capacité à rester seul*
2 out of 5Animal de compagnie*
3 out of 5
Mâle | Femelle |
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Taille | Taille |
18 - 30.5 cm | 18 - 30.5 cm |
Poids | Poids |
0 - 3.5 kg | 0 - 3.5 kg |
Chiot | Âge adulte |
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De 2 à 10 mois | De 10 mois à 8 ans |
Âge mature | Âge avancé |
De 8 à 12 ans | De 12 à 22 ans |
Jeune chiot | |
De la naissance à 2 mois |
Apprenez à connaître le poméranien
Tout ce que vous devez savoir sur la race
Impressionnants malgré leur taille, les poméraniens sont peut-être beaucoup plus petits que leurs ancêtres qui tiraient des traîneaux, mais ils ont gardé la même mentalité. Audacieux, impétueux et intrépides, ils démontrent une curiosité insatiable envers tout ce qui les entoure. Ce sont donc d’excellents chiens de garde.
En, revanche, les poméraniens sont quelque peu aboyeurs. Si vous aimez la paix et la tranquillité, ou si vos voisins sont sensibles, cette race n’est peut-être pas faite pour vous.
À part ça, la personnalité des poméraniens est irrésistible. Intelligents, attentifs et toujours en demande d’interaction avec leurs maîtres, ils sont extrêmement attachants. Présentant une taille maximale de seulement 30 cm, les poméraniens n’ont pas besoin de beaucoup d’exercice et s’adapteront très bien à la plupart des foyers.
Étant le plus petit membre de la famille de spitz allemands, parmi lesquels figurent le samoyède, le malamute de l’Alaska, et le chien d’élan norvégien gris, le poméranien est connu dans certains pays sous le nom de « spitz nain ». La race que nous connaissons aujourd’hui est née en Allemagne, probablement dans les années 1700. Sa taille est devenue plus petite au fil du temps.
Rapidement, le poméranien est devenu très populaire auprès d’une foule d’amateurs distingués. En effet, la reine Victoria était une grand passionnée de la race et a contribué à asseoir sa popularité (sujet plus amplement détaillé dans L’histoire du poméranien dans notre rubrique Historique de la race).
Revêtant un charme insolent, le poméranien présente un bon tempérament et est un animal de compagnie très attachant. Si vous vous interrogez sur l’espérance de vie des poméraniens, celle-ci est inhabituellement longue. Cette race s’épanouit bien après son adolescence.
Il n’est donc pas surprenant que le poméranien soit l’une des races naines les plus populaires. Il figure régulièrement parmi les 20 races de chiens préférées au monde.
Deux choses à savoir sur le poméranien
2. À l’époque du Titanic
En 1912, deux poméraniens figuraient parmi les trois seuls chiens à avoir survécu au naufrage du Titanic. Les deux animaux chanceux, ainsi que leurs propriétaires, faisaient partie des survivants qui ont eu la chance de se réfugier dans un canot de sauvetage. Dans le film portant le même nom, le personnage Rose tient un poméranien à la fin du film.
1. Des origines qui remontent à l’âge de la pierre
Descendant du spitz allemand, la lignée du poméranien remonte à l’âge de la pierre. Des fouilles effectuées dans le nord de l’Allemagne ont mis au jour des spécimens bien conservés qui seraient les premiers ancêtres de la race.
Historique de la race
Pour revenir sur leurs origines, les ancêtres nordiques des poméraniens étaient des chiens de traîneau qui vivaient dans l’Arctique. Ces animaux robustes étaient communément connus sous le nom de spitz-loup ou spitz, et le poméranien descend du spitz allemand.
Nommée d’après la région historique de Poméranie (dans le nord de la Pologne et de l’Allemagne) d’où elle est originaire, la race poméranienne que nous connaissons aujourd’hui aurait été créée dans les années 1700. La taille de cette race qui était à l’origine beaucoup plus grande a été réduite grâce à un élevage sélectif et de nombreuses couleurs de robe différentes ont également été introduites.
Le poméranien a rapidement gagné en popularité et n’a mis que très peut de temps à séduire la royauté. Le premier membre de la famille royale qui a adopté un poméranien était la reine Charlotte, la reine consort du roi George III de Grande-Bretagne. Ses deux poméraniens ont été représentés dans les peintures de Sir Thomas Gainsborough.
Plus tard, la reine Victoria est également devenue une grande fan du poméranien, à tel point qu’elle a créé son propre élevage. Grâce à son influence, ces chiens bénéficiaient du plus grand nombre d’entrées au Crufts, une exposition canine britannique, pendant plusieurs années.
Le club de race inaugural a été créé en 1891, lors du tout premier événement Crufts, et la norme de la race a été établie peu de temps après. En 1898, la race a été enregistrée aux États-Unis, auprès de l’American Kennel Club, et y a été officiellement reconnue en 1900. Inutile de dire que le poméranien a conservé sa popularité lors des expositions canines et dans les foyers modernes.
De la tête à la queue
Caractéristiques physiques du poméranien
1.Face
2.Corps
3.Queue
4.Pelage
5.Fourrure
Éléments à surveiller
Découvrez quelques points intéressants sur votre poméranien, pour connaître les caractéristiques spécifiques de la race ou avoir un aperçu général sur sa santé
Privilégiez un harnais plutôt qu’une laisse.
Comme les autres chiens de petite taille, les poméraniens sont sensibles à la maladie évolutive appelée « collapsus trachéal », qui combine la dégénérescence du cartilage soutenant la trachée et un affaiblissement de la membrane trachéale entraînant un rétrécissement potentiel des voies respiratoires. Bien que la maladie soit héréditaire, elle peut être exacerbée par un collier et une laisse, surtout si votre poméranien tire fort ou si vous le retenez en arrière un peu trop brusquement. Les symptômes peuvent inclure des grognements, de la toux, une respiration sifflante ou des difficultés respiratoires et, dans les cas graves, l’évanouissement. C’est pourquoi il est toujours préférable d’opter pour un harnais. Une chirurgie peut être envisagée si la maladie s’aggrave.
Prendre soin de leurs petites pattes
La luxation de la rotule est un autre problème qui affecte couramment la race poméranienne. Connue sous le nom de « genou instable » chez l’homme, cette maladie est induite lorsque la rotule d’une patte arrière sort de sa position. Même si elle se remet généralement en place toute seule, la membrane de l’articulation est endommagée chaque fois que cela se produit. Cette maladie provoque inflammation et douleur, ainsi que des symptômes tels qu’une claudication ou des « sautillements ». Afin de garantir l’absence de problème, des examens orthopédiques sont recommandés deux fois par an, d’autant plus que la maladie peut entraîner de l’arthrite par la suite. Veiller à ce que votre poméranien conserve son poids idéal peut être une bonne mesure préventive. Des analgésiques peuvent être prescrits ou une chirurgie peut être réalisée dans les cas plus graves.
La santé des yeux doit également être surveillée
L’un des autres faits à connaître sur les poméraniens est leur sensibilité à certains problèmes oculaires. Il peut notamment s’agir de la cataracte, d’une sécheresse oculaire ou de problèmes liés aux canaux lacrymaux. Étant donné que ces affections risquent d’altérer leur vue si elles ne sont pas traitées, il est important de demander l’avis d’un professionnel. Si vous remarquez des symptômes tels que des rougeurs, des lésions ou des larmoiements excessifs, ou si votre chien se frotte les yeux, communiquez immédiatement avec votre vétérinaire. Des mesures appropriées pourront ainsi être prises à temps. Des examens oculaires réguliers sont également fortement recommandés.
Prendre soin de votre poméranien
Conseils de toilettage, de dressage et d’exercice
Compte tenu de leur très petite taille, les poméraniens ont moins besoin d’exercice que la moyenne. Ils ont cependant besoin d’une promenade quotidienne, deux dans l’idéal, avec la possibilité de dégourdir leurs petites pattes et de renifler des odeurs. En raison de la petite taille des poméraniens, mieux vaut éviter les parcs à chiens, car ils pourraient se faire bousculer par des races plus grandes. Ils sont également susceptibles de chercher le conflit avec des chiens plus gros qu’eux. Surveillez-les de près lorsqu’ils sont dans le jardin ou dans la cour, car ces Houdini miniatures sont également connus pour fuguer, et ils peuvent s’échapper à travers des trous très petits. Les poméraniens peuvent être sujets à l’embonpoint en vieillissant. Vous devez donc les garder actifs, même si ce qu’ils préfèrent est de se blottir sur vos genoux.
Cette magnifique fourrure similaire à celle d’un renard qu’arborent les poméraniens est l’une des caractéristiques qui les distingue des autres races. Vous devrez cependant lui accorder une attention régulière pour qu’elle reste sublime. Un léger brossage quotidien permettra d’éliminer les poils morts et de conserver sa brillance. Étant donné que les poméraniens ont un double pelage, comprenant un sous-poil doux, épais et dense, et des poils plus longs en surface, il est judicieux de leur proposer un brossage plus approfondi une fois par semaine. Il est recommandé de faire appel à un toiletteur professionnel pour votre poméranien, bain compris, toutes les quatre à six semaines. Étant donné que la mue du poméranien peut être importante, ces séances régulières permettent également d’éliminer l’excès de poils et de préserver vos tapis. Les griffes doivent être courtes, les dents brossées au moins une fois par semaine (tous les jours dans l’idéal) et les oreilles vérifiées régulièrement.
Compte tenu de son intelligence, le poméranien s’épanouira grâce à un dressage adapté, qui lui offrira une stimulation à la fois mentale et physique. Il appréciera également de jouer avec vous à la maison. Les chiens qui démontrent une capacité d’apprentissage supérieure excelleront dans des disciplines telles que l’agilité, l’obéissance et le rally. Ils pourront également devenir d’excellent chiens de thérapie. Quelques points à retenir… Le poméranien peut être un peu « bavard », d’autant plus qu’il est plutôt méfiant envers les étrangers. Une socialisation précoce peut remédier à ce problème. L’apprentissage de la propreté peut être un peu plus long avec cette race. Mieux vaut donc faire preuve de douceur, de cohérence et de patience pour l’accompagner au cours de cette phase.
Compte tenu de leur très petite taille, les poméraniens ont moins besoin d’exercice que la moyenne. Ils ont cependant besoin d’une promenade quotidienne, deux dans l’idéal, avec la possibilité de dégourdir leurs petites pattes et de renifler des odeurs. En raison de la petite taille des poméraniens, mieux vaut éviter les parcs à chiens, car ils pourraient se faire bousculer par des races plus grandes. Ils sont également susceptibles de chercher le conflit avec des chiens plus gros qu’eux. Surveillez-les de près lorsqu’ils sont dans le jardin ou dans la cour, car ces Houdini miniatures sont également connus pour fuguer, et ils peuvent s’échapper à travers des trous très petits. Les poméraniens peuvent être sujets à l’embonpoint en vieillissant. Vous devez donc les garder actifs, même si ce qu’ils préfèrent est de se blottir sur vos genoux.
Cette magnifique fourrure similaire à celle d’un renard qu’arborent les poméraniens est l’une des caractéristiques qui les distingue des autres races. Vous devrez cependant lui accorder une attention régulière pour qu’elle reste sublime. Un léger brossage quotidien permettra d’éliminer les poils morts et de conserver sa brillance. Étant donné que les poméraniens ont un double pelage, comprenant un sous-poil doux, épais et dense, et des poils plus longs en surface, il est judicieux de leur proposer un brossage plus approfondi une fois par semaine. Il est recommandé de faire appel à un toiletteur professionnel pour votre poméranien, bain compris, toutes les quatre à six semaines. Étant donné que la mue du poméranien peut être importante, ces séances régulières permettent également d’éliminer l’excès de poils et de préserver vos tapis. Les griffes doivent être courtes, les dents brossées au moins une fois par semaine (tous les jours dans l’idéal) et les oreilles vérifiées régulièrement.
Compte tenu de son intelligence, le poméranien s’épanouira grâce à un dressage adapté, qui lui offrira une stimulation à la fois mentale et physique. Il appréciera également de jouer avec vous à la maison. Les chiens qui démontrent une capacité d’apprentissage supérieure excelleront dans des disciplines telles que l’agilité, l’obéissance et le rally. Ils pourront également devenir d’excellent chiens de thérapie. Quelques points à retenir… Le poméranien peut être un peu « bavard », d’autant plus qu’il est plutôt méfiant envers les étrangers. Une socialisation précoce peut remédier à ce problème. L’apprentissage de la propreté peut être un peu plus long avec cette race. Mieux vaut donc faire preuve de douceur, de cohérence et de patience pour l’accompagner au cours de cette phase.
7/7
À propos du poméranien
Non, le poméranien descend du spitz allemand, et bien qu’ils aient de nombreuses similarités, il s’agit de deux races différentes. La taille est la principale différence entre ces deux races. À titre de comparaison, le poméranien est généralement deux fois plus petit que le spitz allemand.
Toujours sur le qui-vive, les poméraniens sont très sensibles à ce qui se passe autour d’eux et n’hésitent pas à le communiquer à leur entourage. Ils se montrent également un peu méfiant envers les étrangers et sont alors susceptibles d’aboyer. Pour remédier à ce problème, vous devez proposer à votre chiot une socialisation et un dressage précoces, en ayant recours au renforcement positif pour lui apprendre à rester tranquille.
En savoir plus sur les races
Sources
- Veterinary Centers of America https://vcahospitals.com/
- Encyclopédie du chien Royal Canin. Éditions 2010 et 2020
- Banfield Pet Hospital https://www.banfield.com/
- Livre de produits Royal Canin BHN
- American Kennel Club https://www.akc.org/
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